Chanson, artiste qui:
Me rend de bonne humeur: Franz Ferdinand
Me rappelle un ex: Message personnel-Françoise Hardi (c'est la meilleure des chansons kitsch!)
Me rappelle ma relation avec mes parents: Allo maman bobo - Alain Souchon
Me fait pleurer: les roses blanches
En dit long sur moi: Creep - Radiohead
Me fait penser à qui j'aime: The Scientist - Coldplay, Yesterday - the Beatles
J'aurais aimé l'avoir écrit: Imagine
Je ne veux plus jamais l'entendre: Quand je fais de la purée Mousseline...
Sera jouée à mes funérailles: j'ai pas encore choisi
Jouera à mon mariage: the long and winding road - the Beatles
Je l'ai déjà aimé mais je ne suis plus capable de l'entendre: Stan - Eminem
Je l'aime mais elle est faite par un(e) artiste que je déteste: Une dernière danse - Kyo
J'ai honte de l'aimer: Maneater - Nelly Furtado
Me donne envie de trasher: the Libertines
Je ferais n'importe quoi pour l'entendre «live»: Bohemian Rhapsody - Queen
Me rappelle mon enfance: Mozart et les Elmer Food Beat
Résume bien mon adolescence: Indochine
Plein de gens l'aiment mais pas moi: Nirvana
J'adore ses paroles: Caroline says - Lou Reed
Que je détestais mais que j'ai fini par aimer: Marilyn Manson
Est à son meilleur lorsque jouée dans la voiture: celle qui fait toute les pubs pour voiture
J'aime m'endormir dessus: Placebo
J'aime me réveiller avec: I just don't feel like dancing - Scissor Sisters
Je l'empruntais dans les disques de mes parents: Madonna, Renaud et Hubert Felix Thiefaine
Que tu connais parce qu'une amie te l'a fait découvrir: Cansei de ser sexy
J'aime le vidéo autant que la chanson: Walk Away - Franz Ferdinand
Me fait penser au sexe: Aime le rouge - Indochine, Sexual Healing - Marvin Gaye, le dernier album de Benjamin Biolay, Walk Away - Franz Ferdinand
J'aime l'entendre dans un club: Soulwax
N'est pas mon genre de musique mais j'aime quand même: Franck Sinatra
Me rappelle ma meilleure amie: What Katie did - The Libertines
Me rappelle qui je voudrais mais que je ne peux pas avoir: the Modern Talking
Je peux la chanter très bien: Garota de Ipanema
Je connais à peine et je l'aime déjà: Jarvis Cocker
samedi 22 septembre 2007
Monréel.
Des rues floues qui s'entrechoquent à intonations variables
Rien que nos momes qui courent, couleurs éphémères
De l'organisation de bordels à l'amiable.
Je bascule et m'y perds.
Des rigoles de sons monocordes sur nos joues pâles,
Partout les mêmes mais Montréal...
Rien que nos momes qui courent, couleurs éphémères
De l'organisation de bordels à l'amiable.
Je bascule et m'y perds.
Des rigoles de sons monocordes sur nos joues pâles,
Partout les mêmes mais Montréal...
lundi 17 septembre 2007
samedi 8 septembre 2007
C'est une chronique ordinaire...
rien que des faits similaires.
<<- Tu sais pourquoi il est parti toi? - Par peur je crois. - Peur de quoi? - De toi, de lui même. Enfin ch'ai pas. >>
Deux robes en lins échanges les dernières nouvelles dune anecdote usée. Un escarpin verni effleure sans intentions particulière une espadrille vieillie. Deux verres à vin s'entrechoquent. Des boucles d'oreilles en bacharas se balancent au grés de hochements de têtes. Un foulard en soie chinée essuie quelques larmes.
Au loin, la fanfare de l'usine entonne "Au près de ma blonde", le facteur distribue le courrier, quelques bambins en retard ouvrent le portail de l'école municipale, une vieille femme balaie la neige amoncelée devant sa porte.
Le lendemain, même heure, même café de la gare.
<<- Je suis venue te dire que je m'en vais. - Et mes larmes ne pourront rien changer? - Tu sanglotes, tu gémis, maintenant qu'à sonné l'heure...>>
Au loin, la chorale intercomunale chante "Au près de ma blonde".
Un refrain similaire, des couplets ordinaires.
<<- Tu sais pourquoi il est parti toi? - Par peur je crois. - Peur de quoi? - De toi, de lui même. Enfin ch'ai pas. >>
Deux robes en lins échanges les dernières nouvelles dune anecdote usée. Un escarpin verni effleure sans intentions particulière une espadrille vieillie. Deux verres à vin s'entrechoquent. Des boucles d'oreilles en bacharas se balancent au grés de hochements de têtes. Un foulard en soie chinée essuie quelques larmes.
Au loin, la fanfare de l'usine entonne "Au près de ma blonde", le facteur distribue le courrier, quelques bambins en retard ouvrent le portail de l'école municipale, une vieille femme balaie la neige amoncelée devant sa porte.
Le lendemain, même heure, même café de la gare.
<<- Je suis venue te dire que je m'en vais. - Et mes larmes ne pourront rien changer? - Tu sanglotes, tu gémis, maintenant qu'à sonné l'heure...>>
Au loin, la chorale intercomunale chante "Au près de ma blonde".
Un refrain similaire, des couplets ordinaires.
mercredi 5 septembre 2007
Mireille, ma belle, tourne les talons et puis s'en va. Son long manteau pourpre disparait dans la nuit noire. Patchwork indistinct de couleurs vagues.
Mireille, quand elle rêve c'est tout l'univers qui se mets en branle. Et, dans ses rêves il y a peut-être moi. Je m'invite entre ses songes, pirate de ses trêves, parasite indolore, de mes yeus je caresse et puis dévore.
Mon ange je ne suis plus un ogre j'ai simplement l'apanache d'un veilleur insomniaque. Alors tu as décidé d'aller danser ailleurs si nous y sommes, lui il tremble de ne plus te voir, cette histoire n'est qu'un contrat; clandestin je veille, lui spasmodie.
Depuis si longtemps que tu t'endors sans matins, que je t'approche de loin et qu'il se terre; je me demande si tu n'étais finalement qu'un rêve, mon imagination en délice.
Ton souffle, désormais mécanique, me murmure que tu m'aimes, peut-être.
Ton front ne se plisse pas à mes incartades.
Ta joue pâle ne rougie plus à mes promesses.
Et ton corps ne me laisse... bip... bip... bip...
Mireille, ma belle, ferme les yeux et puis s'en va. Ses longs silences disparaissent dans le noir. Patchwork indistinct de sentiments vagues.
Mireille, quand elle rêve c'est tout l'univers qui se mets en branle. Et, dans ses rêves il y a peut-être moi. Je m'invite entre ses songes, pirate de ses trêves, parasite indolore, de mes yeus je caresse et puis dévore.
Mon ange je ne suis plus un ogre j'ai simplement l'apanache d'un veilleur insomniaque. Alors tu as décidé d'aller danser ailleurs si nous y sommes, lui il tremble de ne plus te voir, cette histoire n'est qu'un contrat; clandestin je veille, lui spasmodie.
Depuis si longtemps que tu t'endors sans matins, que je t'approche de loin et qu'il se terre; je me demande si tu n'étais finalement qu'un rêve, mon imagination en délice.
Ton souffle, désormais mécanique, me murmure que tu m'aimes, peut-être.
Ton front ne se plisse pas à mes incartades.
Ta joue pâle ne rougie plus à mes promesses.
Et ton corps ne me laisse... bip... bip... bip...
Mireille, ma belle, ferme les yeux et puis s'en va. Ses longs silences disparaissent dans le noir. Patchwork indistinct de sentiments vagues.
Tapoti tapota trois petits tours et puis s'en vont...
Je crois que ça me manquait. Betement. Des tapotis nocturnes.
Dans plus trés longtemps j'étais née.
C'est juste pur symbole.
C'est pas vraiment vrai.
Enfin Toi tu le sais.
Ce fil d'Ariane est mon seul repère dans ce labyrinthe irréel.
Toi tu t'effaces.
Moi je joue.
Alors viens...
Dans plus trés longtemps j'étais née.
C'est juste pur symbole.
C'est pas vraiment vrai.
Enfin Toi tu le sais.
Ce fil d'Ariane est mon seul repère dans ce labyrinthe irréel.
Toi tu t'effaces.
Moi je joue.
Alors viens...
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